Le chômage (2ème opus)
Suite à une information sur le chômage ou était comparée la France à d'autres pays européens en matière de chiffres, celle-ci apparaît comme l'exclusivité de l'incapacité à savoir gérer ce problème comparativement aux autres pays européens. Voici ma réflexion.
Le chômage est un sujet de débat et de polémique tenu en haleine par toute à chacune et tout à chacun, tant le problème nous concerne toutes et tous, de près ou de loin, directement ou indirectement. Mais surtout, il est le sujet favori dans l'arène de la politique de part sa dynamique humaine ou devrais-je dire inhumaine donc d'une possible réappropriation, non pas à des fins de solution, mais à des fins de joutes politiques en dénonçant les affres d'une politique inadaptée et d'y associer la responsabilité à une ou des personnes, alors que le chômage est un sujet complexe qui met en jeu, non pas uniquement un problème de gestion politique, mais également un problème économique, conjoncturel, structurel, mais surtout humain. Que dire du monde de la finance, de l'économie, de la spéculation, de la mondialisation, de la marchandisation, de la capitalisation, où l'humain n'est qu'une pièce rapporté tout juste utile, à moindre frais si possible (d'où les délocalisations par la recherche d'une main d'oeuvre à bas prix ou d'une production à faibles coûts), et que dès qu'il faut faire des coupes franches, on pensera au capital et aux dividendes, au lieu de penser à l'humain en premier lieu, par souci d'économie et de refonte économique.
Le chômage est un sujet de débat et de polémique tenu en haleine par toute à chacune et tout à chacun, tant le problème nous concerne toutes et tous, de près ou de loin, directement ou indirectement. Mais surtout, il est le sujet favori dans l'arène de la politique de part sa dynamique humaine ou devrais-je dire inhumaine donc d'une possible réappropriation, non pas à des fins de solution, mais à des fins de joutes politiques en dénonçant les affres d'une politique inadaptée et d'y associer la responsabilité à une ou des personnes, alors que le chômage est un sujet complexe qui met en jeu, non pas uniquement un problème de gestion politique, mais également un problème économique, conjoncturel, structurel, mais surtout humain. Que dire du monde de la finance, de l'économie, de la spéculation, de la mondialisation, de la marchandisation, de la capitalisation, où l'humain n'est qu'une pièce rapporté tout juste utile, à moindre frais si possible (d'où les délocalisations par la recherche d'une main d'oeuvre à bas prix ou d'une production à faibles coûts), et que dès qu'il faut faire des coupes franches, on pensera au capital et aux dividendes, au lieu de penser à l'humain en premier lieu, par souci d'économie et de refonte économique.
Un pays n'est plus le seul maître de son économie, pas plus que celui et ceux qui le dirige(nt), car cela dépend de facteurs extérieurs : de multinationales, de cette économie et politique de globalisation et de mondialisation, dont nos gouvernants ne sont que de petits cadres adjoints sans en être les PDG.
Quant à la comparaison avec les autres états européens au travers de cette carte et des chiffres mentionnées, même si comparaison n'est pas raison, essayons de nous penchez en détail sur leur situation, pour comprendre la raison de leur réussite en matière de chômage, mais en y associant et y en mettant en parallèles les mêmes critères si possible et tentons d'en tirer des enseignements pour peut-être les mettre en oeuvre chez nous. Mais surtout, il faudrait que cessent ces débats polémiques et politiciens en terme de chômage pour que chacune et chacun puisse y trouver des solutions et non pas se servir du chômage comme solution à des fins purement politiciennes ou électoralistes (en vue de prochaines élections comme 2017). Car, il y a beaucoup de critiques ici et là dans un camp comme dans l'autre, mais jamais de solutions concrètes, solides et durables.
Trop de personnes se retrouvent dans des situations délicates et voient leur vie quotidienne transformée voire fragilisée et précarisée, occasionnant de la difficulté à la difficulté et excluant parfois ces personnes de la société et de tout lien social. Aussi le chômage n'est pas le propre ou la cause d'un président, mais de toute à chacune et chacun dans tous les domaines et surtout de celles et ceux qui détiennent la finance et l'économie entre leurs mains au détriment de l'humain. Le chômage est de la responsabilité de toute à chacune et chacun, car si le travail n'est pas une fin en soi, il est une nécessité de vie sociale et humaine.
Quant à la comparaison avec les autres états européens au travers de cette carte et des chiffres mentionnées, même si comparaison n'est pas raison, essayons de nous penchez en détail sur leur situation, pour comprendre la raison de leur réussite en matière de chômage, mais en y associant et y en mettant en parallèles les mêmes critères si possible et tentons d'en tirer des enseignements pour peut-être les mettre en oeuvre chez nous. Mais surtout, il faudrait que cessent ces débats polémiques et politiciens en terme de chômage pour que chacune et chacun puisse y trouver des solutions et non pas se servir du chômage comme solution à des fins purement politiciennes ou électoralistes (en vue de prochaines élections comme 2017). Car, il y a beaucoup de critiques ici et là dans un camp comme dans l'autre, mais jamais de solutions concrètes, solides et durables.
Trop de personnes se retrouvent dans des situations délicates et voient leur vie quotidienne transformée voire fragilisée et précarisée, occasionnant de la difficulté à la difficulté et excluant parfois ces personnes de la société et de tout lien social. Aussi le chômage n'est pas le propre ou la cause d'un président, mais de toute à chacune et chacun dans tous les domaines et surtout de celles et ceux qui détiennent la finance et l'économie entre leurs mains au détriment de l'humain. Le chômage est de la responsabilité de toute à chacune et chacun, car si le travail n'est pas une fin en soi, il est une nécessité de vie sociale et humaine.
Écrit et Posté le 2 Février 2015.
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