mercredi 28 octobre 2015

Les convictions
 
 
Les convictions sont dangereuses parce qu'elles conditionnent la pensée et par voie de conséquence l'action de celui/celle qui pense. Elles orientent la pensée de celui/celle qui les intègre et les acquière comme une vérité, une réalité ou la vérité, la réalité (pour cette dernière c'est pire encore). Les convictions sont restrictives et sélectives, car elles n'arborent qu'un aspect des choses en rejetant le reste. Une conviction est une croyance en quelque chose de manière forte et inébranlable. Les convictions se retrouvent dans divers domaines : politique, religieux, social voire même individuel, etc. Elles sont le terreaux de toutes les injustices, de l'imbécilité et de la crêtinerie. Elles empêchent l'individu, l'Homme de voir avec ouverture d'esprit et intelligence, les choses et les êtres avec infini et humanité. Elles sont des barreaux voire des œillères de l'esprit. Elles sont prismatiques. Elles empêchent de voir, de percevoir et d'entrevoir avec globalité et de manière infinie les choses et les êtres. Elles sont à l'origine de toutes les radicalités et radicalisation. Elles sont le terreau des intégrismes de tout bord et de tout genre. Elles sont les verrues, les chancres de l'intelligence et du bon sens. Elles sont le paraître en lieu et place de l'être. Elles sont le superficiel en lieu et place de l'essentiel (au sens "essence du terme"). Elles sont la pâle représentation de nos sociétés actuelles et de celles et ceux qui la constituent : des âmes et des corps vides de l'intérieur même si de l'extérieur il y a un semblant de consistance et de vie. Elles sont l'absence de liberté pleine et entière. (la liste n'est pas exhaustive). Bref, les convictions ne sont que la victoire de l'absurde, de l'imbécilité , de la suffisance, de l'inconsistance, du conventionnel, de l'institutionnel, du formalisme, du conformisme, etc. sur l'Intelligence dans toute sa grandeur et sa splendeur. Les convictions sont à l'intelligence voire à la pensée ce que les habits sont au corps : un apparat, un paraître, un déguisement, une convention, un mode, un code, une appartenance …
 
 
Écrit le 18 Septembre 2013 et Posté le 28 Octobre 2015.
 
 
 
 
Convaincu(e) ?
 

mardi 27 octobre 2015

L'indifférence
 
 
(réflexion à partir d'un auteur de 1917)

Toute personne qui ne prend pas partie est indifférente. L'indifférence est le signe de la tiédeur, de l'indécis, du je m'en foutisme, de l'incapacité à prendre position.
Etre indifférent au chose peut être vu de 2 manières. La 1ère comme ce qui est mentionné ci-dessus, la deuxième comme une manière de voir les choses différentes.
Ne pas prendre partie, ne signifie pas être indifférent, mais de voir différemment les choses et de na pas se positionner, car prendre partie signifie se détacher d'une globalité pour ne pas se positionner et se fixer sur une portion de cette globalité. Bref, la prise de position souligne souvent un parti pris, une morcelisation, une vision particulière au détriment d'une vision globale et objective. Etre indifférent à une idée, à une action ou à tout autre chose, ne dénote pas l'absence de positionnement ou le désintéressement mais une 3ème voie possible dans la manière d'adhérer à une idée, à une action, etc : une vision plus globale, plus ouverte. Bref, prendre de la hauteur par rapport au traditionnel comportement du "pour" ou "contre" pour se recentrer sur le "ni pour ni contre" mais le "avec", surtout lorsque la notion de "ni pour ni contre" repose sur des prises de positions déterminées par des convictions souvent orientées en fonction de la connaissance des choses et du monde qui nous entoure. La démarche consisterait à être indifférent à ce "pour ou contre" au profit du "avec" sans être pour l'un ou contre l'autre mais avec l'ensemble, signe de la globalité, de l'objectivité, du bon sens et de l'intelligence (démarche de toute personne pouvant prendre de la hauteur et ayant une connaissance supérieure à cette connaissance acquise et intégrée). Il n'en demeure pas moins qu'il est des notions où le pour ou contre ne relève pas de cette démarche car la notion elle même se définit intrinsèquement par sa valeur acceptable ou non et surtout globale et universelle. Elle est juste ou non. Cependant, certaines notions n'étant pas de cette valeur et ne reposant que sur la valeur qu'elle représente à un moment donné, à la connaissance, à un contexte historique, social, économique, culturel et cultuel; elle ne peut-être que valeur subjective et particulière et risque d'être acceptée comme valeur universelle, alors qu'il n'en est rien car sa valeur n'est pas intrinsèque mais déterminé par des facteurs extérieurs, par convention, par conviction. L'indifférence n'est donc pas un manque de prise de position, ni de tiédeur, mais une manière de rester indifférent à ces combats d'opposition, d'idée, d'action, etc. souvent orientés et dirigés par un mode de pensé tout aussi orienté et dirigé sans prendre en compte la notion d'universalité qui repose sur la différence et l'acceptation de cette différence, même si elle est en opposition avec une certaine réalité (la réalité de la vision et la pensée humaine basée sur notre conditionnement déterminé par les facteurs des connaissances acquises et plus ou moins comprises (sans prendre en compte celles qui ne sont encore connues) et acquises et surtout comprises) par le contexte historique, social, culturel, cultuel, etc. Je dis oui à l'indifférence car celui-ci est une arme absolue contre le parti pris sans discernement, bon sens, intelligence et ouverture d'esprit; surtout lorsque que pour le camp du pour et le camp du contre, il ne s'agit que de moyens fallacieux pour se faire la guerre au sens propre comme au sens figuré. Le bien vivre ensemble repose sur l'acceptation que les choses sont; même si elles sont en contradiction avec certains de nos principes conventionnels mais pas universels. La seule chose qui vaille est : est-ce que les choses sont en accord avec l'évolution de l'homme et donc sa pleine humanité ? L'idée n'est-elle pas de permettre à tout à chacun(e) de vivre en toute liberté sa ou ses différences ? Après à chacun(e) de la faire dans un bon esprit et surtout avec respect pour soi et les autres.


Écrit le 2 Septembre 2013 et Posté le 27 Octobre 2015.


Mr Franck Delaby



Mr Franck Delaby
Sexualité et plaisirs immédiats :  le "lybrido" ou "librido" ou le retour du râle féminin

 
 
Sujet traité à partir d'un article lu dans un quotidien national. L'orthographe du mot reconstitué à partir du mot libido n'est pas juste !
 
J'ai lu un article dans un quotidien national sur la mise sur le marché en 2016 d'un booster de libido pour les femmes. Mis en oeuvre et encore en test aux Etats-Unis, le lybrido ou librido va permettre aux femmes connaissant une baisse ou une absence de libido de retrouver celle-ci pour vivre une sexualité normale à la limite paroxystique. A la lecture de cet article on s'aperçoit, à l'instar du Viagra pour les hommes en panne de libido et surtout d'érection, que ce remède magique agit sur l'aspect biologique, biochimique et fonctionnel uniquement. Lorsque l'on connaît les effets du Viagra, on peut s'attendre à quelques surprises. Comme tout médicament, il y aura certainement des effets secondaires. Agir de manière ciblée (locale) sans prendre en compte la complexité de la sexualité humaine et plus particulièrement féminine, permettra, certes de rendre service aux femmes perturbées en matière de libido d'un point de vue fonctionnel, toutefois la dominante émotionnelle et psychique sera, comme pour le Viagra, négligé. Un tel remède peut-être bénéfique pour la recherche d'un plaisir ou la redécouverte d'un plaisir immédiat, mais il ne permettra jamais à une femme de recouvrer sa libido naturelle. Le Viagra n'a jamais permis à un homme de retrouver une érection naturelle, à part peut-être quelques rares exceptions et encore peut-on imaginer que ce soit le Viagra qui en soit l'origine ! J'en doute, car plus on en utilise, plus on développe le principe d'accoutumance et l'effet auto-suggérant de la nécessité d'en prendre.
Je ne réfute pas l'idée que ces médicaments sont certainement appropriés pour surmonter les pannes sexuelles masculines et féminines; j'exprime uniquement l'idée qu'encore une fois, pour résoudre ce genre de problème (frigidité, absence ou perte de libido, désirs, problèmes d'érection, etc.), on ne s'est concentré uniquement que sur l'aspect purement fonctionnel et localement (biologique, biochimique, physique) en négligeant la dimension humaine et donc la dynamique psychologique (affectif, émotionnel,etc.) mais également la dimension sociale, culturelle, cultuelle, etc.Je pense qu'il y a une autre démarche à suivre ou à entreprendre.
 
La première consiste à apprendre à se connaître et surtout à connaître la et sa sexualité (biologique, psychologique et sur le plan de la relation humaine), en faisant abstraction de tout ce qui pourrait nuire à la bonne compréhension et acceptation de cette sexualité.
 
A) sur le plan biologique (physique) c'est comprendre la et sa sexualité
 
  --> son fonctionnement (les mécanismes)

  --> sa finalité (la procréation)
 
Cette partie définit la part animale, instinctive, reproductive (perpétuation de l'espèce).
NB : La sexualité a pour finalité la procréation mais la finalité de la sexualité n'est pas la procréation uniquement.
 
B) Sur le plan psychologique/psychique c'est comprendre la et sa sexualité
 
  --> émotions

  --> orientation sexuelle

  --> désirs/fantasmes
 
Cette partie définit la part affective, la pensée sexuelle/sensuelle et l'identité sexuelle.
 
C) Sur le plan de la relation humaine c'est comprendre la et sa sexualité
 
  --> rapport à l'autre / son corps et le corps de l'autre, les sentiments

  --> érotisme (pratiques sexuelles, sensualité, plaisirs)
 
Cette partie définit la part relationnelle sans obligation de procréation.

Une fois que toutes ces notions sont bien acquises et comprises, on peut alors entreprendre la deuxième phase.
 
A)   Par la connaissance et la compréhension  de la et sa sexualité, c'est l'acceptation de celle-ci avec toutes ses contradictions et paradoxes par rapport à la morale, l'éducation, les principes qui régissent nos comportements en société. Chacun sait, même si on n'ose le reconnaître, que la sexualité nous ramène toujours à notre part d'animalité (au sens noble du terme et sans être péjoratif).
L'acceptation de ses désirs profonds normaux et naturels en accord parfait avec ses principes qui peuvent être en opposition, permet de lever une barrière : l'inhibition. En résumé, on peut et doit vivre une sexualité naturelle et sans tabou en parfaite adéquation avec le fait d'être une personne de principe (moral, culturel, cultuel, etc.). Le tout est que celle-ci soit vécue en toute sincérité et authenticité et dans la plus stricte intimité tant de la part de ceux qui la vivent que de la part de ceux qui sont extérieurs, en respectant cette intimité.
Rester naturel et accepter ses contradictions pour vivre sa sexualité en n'appliquant qu'une règle simple : "amour et respect" pour et avec l'autre.
Une question pourrait être posée qui en amène d'autres :

 La sexualité est-elle morale ?

 Doit-on mettre de la morale dans la sexualité ou la sexualité doit-elle être morale ou moralisée ?
Ainsi par l'acceptation de sa sexualité, de ses paradoxes ou contradiction et de sa naturalité, on lève le voile de l'inhibition ayant pour origine des principes "perturbateurs" générateurs des causes possibles de défaillances sexuelles (désir, libido, physique, etc.). Disons que le mauvais conditionnement en la matière peut être la cause de certains blocages psychologiques et donc physiques.
Cette partie définit la part d'acceptation des contradictions entre sexualité "être sexuel" et moralité "être moral" et le principe de désinhibition (facteur favorisant la libido).
 
B)   Par la connaissance de la sexualité de l'autre. L'Homme doit apprendre à connaître et apprivoiser voire maîtriser sa sexualité et donc son propre corps tout autant que de connaître et d'apprivoiser la sexualité et également le corps de l'autre. En se connaissant l'un et l'autre, sans aucune mesure et sans tabou, l'un et l'autre pourront vivre pleinement leur sexualité en sachant ce que chacun(e) peut apporter à l'autre pour atteindre leur plénitude sexuelle avec respect et amour l'un pour l'autre et réussir à surmonter leurs possibles défaillances.
 
L'union ne fait qu'un !
 
C)   Développer entre les personnes, dans la relation, les notions de respect, d'amour, de confiance,de complicité, d'écoute et d'attention, à la différence d'une relation égoïste et intéressé (dominant/dominé, soumission, etc.). Et au delà de l'attirance purement physique associer la dominante affective qui, complémentaire, rend la relation plus intense, sincère et authentique. Elle peut être même un atout non négligeable dans l'accomplissement de l'acte voire dans la possibilité de surmonter ses défaillances ou pannes (absence de désir, perte de libido, problèmes fonctionnels et physiques, etc.).
 
Voilà donc en résumé l'une des voies possibles en substitution des médicaments soi disant miracles, qui jouent leur rôle, mais uniquement de manière locale ou fonctionnelle sans prendre en compte toute la complexité de la sexualité qui ne repose pas uniquement sur un principe fonctionnel (physique, biologique, biochimique, mais également psychologique (affectif, émotionnel, mais aussi social, culturel, cultuel, etc.). Dans une société naviguant entre le plaisir à tout prix ou une sexualité limitative voire moralisée à la limite de l'abstinence, on en oubli pour le premier que de s'efforcer à entretenir un rapport sexuel en vue d'une performance, d'un plaisir égoïste et de l'atteinte d'un état sexuel paroxystique, est erroné, alors que la part affective a son rôle a jouer et non des moindres, en y associant tous nos sens pour éveiller ou réveiller notre sexualité et notre sensualité.
A l'inverse du second qui préconise une sexualité moralisée à la limite fonctionnelle et juste procréative, en négligeant la part affective, le don de soi et donc un acte d'amour, de partage, de complicité et d'intimité tout simplement, dans sa plénitude et sa dynamique humaine, même si la finalité n'est pas de procréer.
Bref, il ne faut pas uniquement des médicaments miracles pour surmonter ou augmenter sa libido ou faire face à ses défaillances sexuelles et atteindre l'extase, il faudrait surtout et avant tout apprendre ou réapprendre la et sa sexualité dans toute sa complexité et sa globalité, donc revenir à une éducation voire une rééducation sexuelle plus saine, plus juste et sans tabou; et surtout se débarrasser des deux extrémismes de la sexualité dont l'un repose sur le plaisir à tout prix au détriment du reste et l'autre repose sur une sexualité moralisée, réprimée, à la limite juste procréative pour adopter une sexualité qui met en valeur la beauté de la rencontre des corps et des âmes en toute simplicité, sincérité, authenticité et naturalité dans un acte de respect et d'amour mutuel.
 
 
Écrit le 25 Août 2013 et Posté le 27 Octobre 2015.
 
 
 
 
L'Amour



La Vérité
 
 
Lire l'article du 26 mars 2012 intitulé : " Comment percevons-nous et analysons-nous notre monde ou l'émergence d'une multitude de questions ?" (http://blog-pensees-franck-delaby-51-231169.blogspot.fr/2014/11/comment-percevons-nous-et-analysons.html)
 
Si l'Homme détenait l'entière vérité sur les choses, alors pourquoi passe-t-il son temps à évoluer, progresser et changer tant sur le plan physique, psychologique, humain, social, etc. ? Bref, lorsqu'une vérité et vraie et absolue, aucun changement ne devrait être opéré. L'équation mathématique 1+1=2 est une vérité mathématique. Elle demeurera et restera immuable. Il n'y a pas d'approximation, d'interprétation ou de changement possible. Pourtant lorsque l'on observe avec attention l'Homme et tous les domaines qui font ce qui l'est, on s'aperçoit que lui comme ces domaines changent, évoluent voire disparaissent parfois. Comment est ce que dans l'immensité du monde (univers) qui nous entoure, l'Homme qui ne représente qu'un point si petit, si minuscule et si minimaliste, peut-il s'enorgueillir de détenir la vérité. Un esprit éclairé, de bon sens et modeste devrait reconnaître son ignorance et surtout son infime connaissance des choses et des êtres qui, elle, est infinie. Le but est de reconnaître en toute honnêteté intellectuelle que nous ne pouvons détenir la vérité absolue sur les choses et les êtres. Ceci ne serait que pure vanité et orgueil au vue de l'immensité des connaissances déjà acquises et de celle à acquérir dont il est difficile d'en déterminer la quantité tant celles-ci sont infinies. C'est pourquoi, l'attitude qui consiste à n'adhérer en aucune sorte à tel courant de pensée, etc. plus qu'à un autre, n'est pas un comportement inadéquate, tiède et indécis, mais approprié à l'idée que personne ne détient la vérité absolue. Les seules choses auxquelles nous pouvons adhérer en toute vérité sont ces principes fondateurs et moteurs que nous pouvons qualifier d'universels. Principes reconnus et reconnaissables par le fait qu'ils existent dans tous les courants de pensées, etc., qu'ils soient proches, lointains et/ou opposés dans leur mode de réflexion et d'action, et qui reposent (ces principes) sur des notions d'humanité. En résumé, penser à l'inverse relèverait, à mon humble avis, d'une forme de radicalisme de la pensée à la limite du l'intégrisme et de l'obscurantisme.
 
 
Petite phrase qui n'est pas de moi mais qui résume bien ce qu'est la vérité. Nul besoin de discours pour s'en convaincre, il suffit d'observer et de prendre de la hauteur et de la distance par rapport aux choses, bref se détacher, alors cette phrase prend tout son sens : "La vérité est un grand miroir tombé du ciel qui s'est brisé en mille morceaux. Chacun en possède un petit morceau et croit détenir toute la vérité" de Jalal Ud Din Rûmi.
 
 
Écrit le 14 Août 2013 et Posté le 27 Octobre 2015.
 
 
Mr Franck Delaby


Une Vérité

 
Caramel ou le désir d'être soi-même
 
 
Quel drôle de titre ! Surprenant dirons nous, mais il n'en est rien car il s'agit en fait d'un titre de film "Caramel" qui traite de la condition féminine dans la société libanaise, de leur désir d'exister à part entière dans une société où les codes sociaux, moraux etc. sont bien ancrés et empêche de vivre en étant soi-même sans se cacher ou en occultant une partie de soi-même. Causant par voie de conséquence des attitudes faites de petits mensonges (par omission ou autres) , trahisons, non-dits, et surtout une souffrance intérieure expression de son soi profond et intérieur qui ne peut exulter et se révéler en toute sincérité avec l'extérieur par souci de conventions et de règles bien établies mais pas toujours en harmonie avec la notion de vie pleine et entière. Très belle "comédie extravertie sur la société libanaise, joyeusement enrobée d'impertinence" pour reprendre les termes de Libération, le thème traité, bien que se limitant à la condition féminine, peut-être étendu à toutes les conditions humaines. Car au travers de cette histoire on découvre des êtres (féminins) qui aspirent à vivre pleinement leur vie en toute simplicité, sincérité, authenticité et débarrassée de toute contrainte non justifiée pour ne pas dire injuste et absurde. Chose que l'on peut retrouver autant chez les femmes que les hommes, bref toutes les personnes qui souhaiteraient aspirer à une vie authentique et qui, parfois voire souvent, sont confrontées à ces règlent qui régissent leurs vies de manière contraignante et embarrassante, les poussant à adopter des comportements de louvoiement pour arriver à leurs fins et causant par voie de conséquence ces tiraillements entre le désir profond de vivre pleinement (d'être soi-même) et celui de respecter les traditions familiales, sociales, cultuelles, culturelles, etc., de peur d'être rejetées, à cause de leurs différences, du groupe familial, sociétal, etc., corps d'appartenance et d'existence bien malgré eux. Ce thème rejoint celui de la liberté pleine et entière : le sommes-nous réellement ? En tout état de cause, ce film est une véritable bouffée d'oxygène pour toutes celles et tous ceux qui aiment la simplicité, la sincérité et l'authenticité, bref c'est un hymne à la liberté d'être, de penser et d'action.
 
 
Écrit le 23 Mai 2012 et Posté le 27 Octobre 2015.
 

Mr Franck Delaby


The Sun
 

mercredi 7 octobre 2015

Un petit poème

 
Sur le chemin de la maison
Je tapotais des mains en sifflotant
l'air d'une chanson
Pour égayer mon cheminement,
Lorsqu' arrivé à mi chemin,
J'entendis repris en coeur
Cette chanson et son refrain,
Entonnés par des bonnes soeurs
Qui étaient assises sur le perron
De leur demeure,
Et en toute candeur
Chantaient cette chanson
Que je repris avec ardeur
En continuant mon cheminement
Soleil au coeur et gaiement
Pour rejoindre ma maison
Où sur le perron
Ne m'attendait qu'un paillasson,
Pour essuyer
le d'sous de mes souliers
Avant de pouvoir entrer
Et de me laisser aller
Aux retrouvailles du soir
Dans les bras de celle
Qui fait mon histoire
Et es ma belle
Qui m'émerveille de jour en jour
Par cette amour
Qui rime avec toujours.
 
 
Écrit le 06 Septembre 2015 et Posté le 07 Septembre 2015.
 
 
Mr Franck Delaby


The Earth/The Heart

 

vendredi 11 septembre 2015

Le Guet ou le divorce juif


#Politique #France #Monde #Religion #Israël #Juif #Femme #Homme #Féminisme #Droits #Dignité #Liberté #Mariage #Guet #Agouna
 

Il y a peu de temps j'ai pris connaissance d'un problème que je ne connaissais pas et qui pourtant fait partie de nos conditions de vie et cela depuis longtemps. Bien sûr pour en prendre conscience il aurait fallu que je sois de la confession religieuse adéquate ou que je côtoie ce milieu ou mieux encore que je connaisse quelqu'un qui soit confronté à ce problème. Eh bien, c'est cette dernière option qui m'est arrivé. Au travers d'une rencontre sur les réseaux sociaux, j'ai découvert un problème dont je n'aurais pas pensé que cela puisse encore exister et perdurer à notre époque et surtout au 21ème siècle, qui devrait être spirituel au sens large du terme, même si je suis conscient qu'en cette vie et à cette époque tout est possible, même l'impensable, l'inimaginable, le surprenant et l'étonnant ! Ce problème est la condition des femmes dans le mariage juif et surtout le divorce. Dans la religion juive le mariage religieux prédomine sur le mariage civil. D'ailleurs, en Israël il n'y a pas de distinction, car lorsque vous êtes mariés religieusement, vous l'êtes automatiquement civilement. Choses différentes en France et dans la religion chrétienne où le mariage religieux doit systématiquement être validé civilement en passant devant le maire. Bien sûr en France en particulier, on peut se marier civilement et non religieusement, mais l'inverse n'est pas possible pour des raisons pratiques et administratives. Il faut obligatoirement validé civilement son mariage.
Dans la religion juive, plus que dans la religion chrétienne, la loi juive a une grande importance dans le mariage au point d'en diligenter la vie quotidienne. Il en est ainsi du divorce où les règles sont illégales voire inégales. En effet, un divorce peut être prononcé civilement par consentement mutuel ou judiciairement, mais religieusement il existe un phénomène qui s'appuie sur le principe du guet. Le guet est l'accord (écrit et signé) que donne le mari à sa femme pour la libérer du mariage religieux. Sans ce guet, la femme (dénommée femme agouna : en attente d'un guet) est toujours mariée religieusement, même si civilement le divorce a été prononcé. Au regard des lois religieuses juives, la femme, comme l'homme d'ailleurs, ne peut pas refaire sa vie et se remarier religieusement et donc civilement, surtout si elle veut continuer à vivre selon ses principes et convictions religieuses. Enfreindre les règles peut avoir des conséquences graves pour la femme, comme pour l'homme, ainsi que pour son entourage (enfants entre autre), en subissant l'opprobre de sa communauté, etc. Mais ce qui est pire, c'est que ce problème peut pousser des femmes à être prisonnières d'une situation dont la seule manière de s'en sortir est que le mari accorde le guet à sa femme. Prisonnières, car cela peut durer des années voire une vie, empêcher toute possibilité de refaire sa vie et est soumis au chantage odieux d'un pacte financier, sans compter le pouvoir et la pression qu'un tel droit peut avoir sur la femme et sa dynamique de vie.
Comment se fait-il qu'à notre époque et surtout au 21ème siècle ce genre de problème puisse encore exister et subsister, quand bien même il s'inscrit dans une loi religieuse et donc divine ? Comment peut-on passer sous silence ce phénomène qui brise des vies entières et génère souffrance humaine et plus exactement féminine ? Comment peut-on se révéler respectueux de Dieu et de ces lois, quand on ne respecte même pas son prochain ? Comment des autorités civiles, mais surtout religieuses ne se penchent pas sur la question pour réfléchir ensemble à ce sujet en apportant modification ou abrogation d'une telle règle qui est inhumaine et donc non d'essence divine, car Dieu est Amour et il ne veut certainement pas le malheur et la souffrance du vivant ! Sans remettre en cause une religion ou les religions et bousculer les règles, il faut tout de même s'efforcer de vouloir changer ce qui crée de l'inhumanité plus que de l'humanité et cela au nom du respect de la vie et du vivant dans ses droits les plus fondamentaux de liberté et de dignité.
 
 
Écrit et posté le 11 Septembre 2015.


Mr Franck Delaby
 
 
 
La Rose noire

dimanche 26 juillet 2015

De la loi renseignement ou comment ces pratiques sont communes et en cours depuis bien longtemps
 
 
Je m'appelle Mr Franck Delaby, j'ai 45 ans et je voulais parler d'une expérience propre et personnelle en matière de surveillance d'un individu avant même que la loi renseignement ne pointe le bout de son nez. Cette expérience vaut tant pour moi que dans mon environnement en général sur le temps et dans l'espace. Ma vie est loin d'être une réussite, en dépit du contenu de mes sites et de leurs richesses de contenus dans le fond et la forme, et pour cause...
Cela fait des années que je vis dans un équilibre de vie des plus déstructuré et déstructurant.  J'ai connu des problèmes professionnels et privés que je ne souhaite à personne dans le fond et la forme et qui ont reposé depuis des années sur un suivi et une surveillance d'autorité ou non (par des personnes ordinaires) dans le milieu privé et professionnel tant personnellement que dans l'entourage familial, sous prétexte d'un comportement anormal (sexuellement, psychologiquement et humainement parlant en général). Actuellement les faits sont devenus plus probant, plus insistant tant les personnes que l'on côtoie ont des attitudes et des comportements inappropriés jusqu'à s'être permis d'obtenir et de savoir beaucoup de choses sur vous même. Aussi, en dépit de la volonté de vouloir continuer à avancer par la mise en place de projet que je m'efforce de construire depuis des années, mais qui ont toujours été remis en cause par ce que décrit ci-dessus, il est difficile de vivre sereinement et de ne pas éprouver beaucoup d'amertume, de colère, un sentiment d'impuissance et d'injustice face à des comportements et des attitudes qui sur le temps ont fini par rendre véritable et réelle un chemin de vie qui serait tout autre aujourd'hui, si cela n'avait pas eu lieu. Il m'a fallu du temps pour comprendre ces choses et me rendre compte d'une telle situation, tout en démontrant que l'on peut-être privé de sa liberté d'action dans toute sa dynamique de vie à cause de la perception que les personnes se sont faites de vous, vous obligeant à vivre et à subir, sans être un criminel ou un terroriste, ce que la loi renseignement va imposer, que cela soit d'autorité ou via des personnes ordinaires et vivant dans votre environnement professionnel, social ou privé. Pour ne prendre que ces huit dernières années, j'ai du déposé des mains courantes pour agressions verbales ou gestuelles (mains courantes qui ne servent à rien au demeurant) et j'ai fini par porté plainte contre "X" pour dénoncer ces agissements à plusieurs reprises (agissements qui je le précise durent depuis plus de 8 ans, tant professionnellement, que socialement et personnellement, d'autorité ou par des personnes ordinaires), et qui m'ont valu une surveillance et un suivi techniquement et humainement parlant, dans la vie réelle comme la vie virtuelle (internet), jusqu'à la mise en oeuvre de comportements et d'attitudes individuelles ou en groupe pour jouer de votre personnalité et vous mettre en porte à faux, sans vous laisser la liberté et la tranquillité de mener à bien votre existence de petite condition dont les vicissitudes du quotidien se suffisaient à elles-mêmes, mais ne vous empêchaient pas de les vivre simplement et humainement et en ayant le respect des choses et des autres, respect que l'on ne vous a pas accordé en s'appropriant votre existence sans foi, ni loi et à cause d'une mauvaise réputation construite sur le temps. Cette plainte a été classée sans suite, parce-que les faits dénoncés ne sont pas punissables, car non publiques et discrets en attitudes et comportements, en dépit d'avoir été déstabilisant, déstructurant, diffamant et d'avoir engendré un conflictuel bien malgré soi par nécessité de se défendre avec ses propres moyens et de se faire respecter. Si je le souhaite, je peux contester la décision de classement en faisant appel pour convoquer le ou les individus, afin d'avoir des explications et des dédommagements. Toutefois, cela ne m'intéresse guère car ce n'est pas les explications et des dédommagements substantiels à en tirer qui m'intéressent, c'est d'avoir des éléments concrets pour connaître et comprendre pourquoi pendant tant d'années et jusqu'à aujourd'hui, en tant qu'individu, il a été difficile de vivre son existence en toute simplicité, facilité et liberté, alors que les capacités et facultés sont bien là et bien au-delà de cette situation et cette condition qui elles sont en-deçà de ce qui aurait pu être sans ces problématiques de comportements ingérants, intrusifs, diffamants, colporteurs, rapporteurs, jusqu'à entretenir dans l'environnement de vie en général de véritables attitudes qui vous empêchaient de vivre simplement votre existence, puisque la finalité est de vous nuire ou de démontrer des choses pour corroborer ce qui dure depuis très longtemps et reposant essentiellement sur votre personne, personnalité qui y inclut votre sexualité, votre psychologie, votre pensée, etc. et donc votre rapport à autrui. Cependant cela a valu autant pour moi que pour mon entourage proche.
C'est pourquoi, j'aimerais souligner qu'il n'est nullement besoin d'une loi renseignement pour s'autoriser le suivi d'un individu dans des conditions particulières pour lutter contre des dangers mettant en cause la sûreté d'un état, car cela existe déjà, sans foi ni loi, d'autorité ou par des gens ordinaires, sans avoir besoin d'être un terroriste, un criminel, mais juste à partir de rumeurs, de ragots, de situations délicates, d'aprioris, de préjugés, mais surtout de comportements et d'attitudes volontaires et conscientes à nuire et à entretenir une réputation et pas des moindres. Car aujourd'hui à force de cela, certaines personnes ont fini par rendre tellement crédible les choses par leur nombre et les faits déroulés sur le temps, sans avoir la possibilité de maîtriser ce que l'on ne connaît pas, ne sait pas, ne voit pas et n'entend pas. Ce qui fait la force de quelque chose, d'une idée, d'une pensée, etc., ce n'est pas le fait d'être vrai ou non, c'est le nombre de gens qui la véhicule et l'entretienne, même mensongèrement.
Sinon, une raison supplémentaire qui me pousse à ne pas faire appel, est que si certaines personnes étaient convaincues du bien fondé de leurs propos et jugement à mon égard, etc., tout comme celui de mon entourage, pourquoi ont-elles entretenues et entretiennent de tels comportements ingérants, intrusifs, illégaux, nuisant, nuisibles, etc. techniquement et humainement, alors qu'il aurait été plus simple de porter plainte en premier lieu dès le départ.
Enfin, la dernière raison repose sur la nécessité qu'il est difficile d'entrevoir une action en justice quant on a peu de moyens et que cette action en justice reposerait sur des faits actuels et passés qui n'ont peut-être pas de lien les uns entre les autres, mais qui reposent essentiellement sur une mauvaise réputation en tant que personne, personnalité sur le plan psychologique, sexuel, pensée, etc., bref en comportement vis à vis d'autrui, et cela depuis des années. Choses qui ont juste empêché de vivre essentiellement matériellement et humainement parlant.
Alors, les lois, la notion de justesse, de respect, d'égalité, de liberté, de justice, etc. me laisse perplexe, dubitatif et songeur, tant c'est le pot de terre contre le pot de fer, la loi du plus fort, du plus filou, de l'argent, du pouvoir, de la capacité à autrui à manœuvrer (seul ou à plusieurs) à votre insu pour nuire sans respect de votre personne, ni des lois et règles en vigueur en matière de vie privée (d'autorité ou par des gens ordinaires), de liberté de pensée, de parole, d'action , en mentant, travestissant la vérité, en s'appropriant et s'appuyant sur la condition et situation de la personne pour donner du crédit à ces attitudes et discréditer l'autre, l'empêchant de vivre simplement sa vie et son existence que cela soit d'autorité ou via des gens ordinaires dans l' environnement de vie en général. Cette capacité à nuire à autrui de cette manière sous couvert, et sans risque d'être sous le coup de la loi est inacceptable. Tout individu est sensé être préservé dans ses droits et ses devoirs par la loi que certaines personnes n'hésitent pas à enfreindre par des comportements susmentionnés dans cette article. Certaines personnes n'hésitent pas à se servir de votre environnement, de votre condition, de votre situation pour s'approprier votre vie et vous créer une réputation qui met à mal toute une vie et une existence, vous forçant à vous débattre dans les eaux tumultueuses de cette situation qui ne fait que générer du conflictuel bien malgré vous et à votre insu, vous privant de mettre en oeuvre toute votre personne et votre personnalité pour vivre votre vie en qualité et quantité essentiellement et humainement.
Alors que et quoi faire face à des personnes (de toutes conditions et situations sociales) de peu de valeur, d'honneur, de vérité et d'intelligence qui vous ont valu cette situation, plus qu'une autre certainement plus enrichissante et épanouissante ? Que dire de ce temps perdu, de ces efforts humains et matériels inutiles, futiles et en vain pour les plus intéressants ? Que penser de cette justice à deux vitesses qui ne sert que les plus nantis, les mieux lotis, les experts en loi et contre loi, les utilisateurs de la loi comme paravent à leurs mésactions et dont les actions vous écraseront et useront sur le temps humainement et matériellement (encore faut il en avoir les moyens) plus que de vous aider à y voir plus clair et à comprendre le pourquoi du comment de ces attitudes, de ses aprioris, de ces préjugés, etc ? Que penser de ces faits et gestes qui vous ont empêché de vivre simplement et librement ? La loi impose que tout individu doit être informé de ses droits et devoirs, qu'en a-t-il été jusqu'à ce jour de ces attitudes ? La loi impose que toute tentative de préméditation à l'encontre d'autrui pour le pousser à la faute est punissable par la loi, alors pourquoi ces attitudes ? La loi impose le respect de la vie privée en tout et pour tout, alors pourquoi ces choses connues par autrui et comment ? Bref, la loi permet à l'individu de penser, de se déplacer, d'entreprendre, bref de vivre librement, alors pourquoi ces attitudes intrusives, liberticides et en contradiction avec cela ?
Ces attitudes et comportements ont une raison de la part des personnes (même si je les juge déraisonnés, à la limite illégaux dans leur mode d'action souvent drapés d'aprioris, de préjugés, de ragots, mais en s'appuyant sur une certaine réalité et vérité en condition et situation par ce jeu subtil des comportements presque théâtraux, pour rendre les choses crédibles à votre désavantage), toutefois cela serait bien de connaître et de comprendre le pourquoi du comment, en sachant que ces attitudes relèvent de la préméditation avec conviction comme mode d'action.
Voilà des faits qui pourraient surprendre, étonner, susciter questionnement et doute, cependant, les faits énoncés partiellement et synthétiquement ont eu et ont une réalité qui ont freiné le bon déroulement d'une existence en toute liberté. Et ce n'est pas les facultés et capacités qui manquaient surtout humainement et en tant que personne. Au travers de cela je veux démontrer que tout individu peut se retrouver privé de sa liberté pour des raisons diverses et variées par un suivi et une surveillance du quotidien d'autorité ou par des personnes ordinaires, même pour des choses les plus banales et reposant parfois sur une mauvaise interprétation des faits et gestes voire une réinterprétation du vécu en faits et gestes, dont il est possible d'en prendre conscience sur le temps, avec le risque de vous retrouver face à des personnes qui s'efforceront de masquer la vérité et réalité par tous les jeux de manipulations et de déstabilisation que l'humain peut mettre en oeuvre sans trop de difficultés techniquement et humainement en s'appropriant la personne, son environnement, sa condition, sa situation et en modelant tout cela pour que la personne se retrouve dans une situation inextricable et surtout justiciable face à celles et ceux qui n'en connaîtraient pas les détails, les tenants et aboutissants, bref la partie invisible de l'iceberg.
L'individu est le seul maître et témoin de son histoire, comment d'autres personnes peuvent-elles maîtriser et savoir mieux que lui-même, ce qu'il pense, ce qu'il est, ce à quoi il aspire, ce qui le motive humainement et matériellement parlant. Comment peuvent-elles anticiper votre propre vous-même, en sachant que dans la plupart des cas elles ne se connaissent pas elles-mêmes, et pour preuve, elles font appel à autrui pour gérer et coacher leur vie en tout et pour tout ? Comment des esprits aussi étriqués, aussi mensongers avec persistances et à plusieurs ont pu oeuvrer en toute tranquillité, sans que personne ne se rende compte de rien, là où en tant qu'individu on n'a pas hésité à rendre compte et prendre connaissance et conscience de votre existence sans foi, ni loi, sans respect des règles de vie privée, et à entretenir un véritable travail de sape. Une goutte d'eau qui vient s'étaler contre un rocher, est moins perceptible qu'un tsunami sur les côtes d'un territoire ! Personne n'en prendra jamais conscience et connaissance, à moins d'être présent au moment opportun où un individu observera cette goutte d'eau et l'immortalisera techniquement, laissant la possibilité d'une trace et d'un témoignage pour autrui, à défaut de n'avoir jamais eu d'existence, faute d'avoir été perçu, en dépit d'avoir tout de même existé ! Alors que le Tsunami, lui pourra être mieux connu par la dynamique du phénomène sur l'instant et dans le futur en faisant des études scientifiques, car il aura appliqué des changements qui resteront gravés comme une cicatrice suite à une blessure.
Cela fait des années que je me bats contre des personnes qui semblent maîtriser cette existence, sans foi, ni loi en ayant toujours trouvé des prétextes douteux ou en se servant des difficultés rencontrées en les amplifiant et déformant. Au lieu d'avoir, l'esprit libre et tranquille, c'est une absence totale de liberté avec un suivi et des comportements dénigrants qui a pu se mettre en place sans l'existence et la nécessité de la loi renseignement actuellement mise en oeuvre, car l'individu seul ou en groupe, d'autorité ou non, s'affranchit des règles et lois en la matière pour suivre et surveiller autrui sans laisser de trace et discrètement, ce qui le protège face à la loi et le préserve d'autrui qui ne peut prendre conscience et connaissance des choses que dans la limite de ces facultés de perception dans le temps et l'espace, tout en sachant que notre justice repose sur la nécessité de la preuve qu'il est difficile d'apporter quand on ne peut pas avoir accès à celle-ci, même s'il y a une réalité ! De plus cette nécessité de preuve m'a fait prendre conscience de la réalité des comportements. S'ils sont aussi persistants et récurrents, c'est parce-qu'il faut des preuves pour être justiciable. Alors il n'y a rien de plus simple humainement et techniquement pour le faire dans l'environnement de la personne en se servant de sa situation et condition, à son insu généralement par le jeux de ces comportements théâtraux, donc préparés et pensés à l'avance pour atteindre un objectif : nuire, confondre, piéger, etc., mais cela s'appelle de la préméditation et est sous le coup de la loi.
L'individu pour résoudre un problème a toujours usé de ces techniques individuellement ou collectivement, d'autorité ou non, en poussant autrui à commettre une erreur involontairement souvent, histoire d'enclencher  une procédure judiciaire par quels que moyens que cela soit. Ce qui n'est pas très légal, mais ça fonctionne. Seulement, agir de cette sorte pour ensuite exiger d'autrui le respect des règles et des lois est quelque peu exagéré, surtout lorsque votre dynamique était de vivre votre vie humainement et essentiellement, et que lorsque vous faites des démarches en justice en expliquant ces faits, qu'il est difficile de faire entendre et comprendre, vous vous retrouvez face à un mur d'obstacles pour essayer dans un premier temps de comprendre et de faire valoir vos droits par nécessité de rétablir une certaine vérité et réalité !
De la nature humaine, je n'en aurais pas fait le tour, mais j'en aurai eu un aperçu des plus navrants et amères. Sartre a raison de dire que l'autre c'est l'enfer ! Il vous empêche de vivre essentiellement et humainement, ne se privant pas de vivre lui-même en en profitant et en ne respectant ni lui-même, ni autrui, ni les lois derrière lesquelles il se cache quand la nécessité l'exige, afin de préserver ses intérêts et d'empêcher autrui de lui demander des comptes ! Avec cette propension à la manoeuvre, au mensonge, aux jeux des attitudes et comportements, sans vérité, ni réalité, en toute honnêteté et en vous privant de vos droits les plus fondamentaux ! ( cela vaut autant pour l'individu, que le groupe, d'autorité ou non, et toutes conditions et situations sociales confondues).
 
Écrit entre 08h45-12h15 et Posté  le 26 juillet 2015, modifié du 27 au 31 juillet 2015 (partie ci-dessous).


Mr Franck Delaby


La Joconde

PS : Écrire ceci pourra être interprété de différentes manières. Toutefois, je n'écris jamais pour évoquer des choses partiellement, partialement, de manière formalisée et subjectivement. Je n'écris pas pour dire des contres vérités, banalités ou superficialités, mais faire le constat de choses qui ont bien eu lieu sur le temps et dans la durée. Je n'ai pas pour habitude d'écrire des fables ou des faits inventés, mais de constater des faits qui ont eu un impact dans le déroulement d'une vie déjà bien précaire et instable comme cela. L'écriture est un exutoire. Elle permet de vider le trop plein. Elle est une confidente, une psychologue, une amie qui ne vous trahira jamais, car elle est et restera le moyen essentielle et inaliénable de l'expression de votre pensée profonde qui est un ensemble de vos connaissances et savoirs, qui pour ces derniers reposent sur le vécu. L'écriture permet de mettre des mots sur les maux qui parsèment et égrènent votre chemin de vie. Elle n'est pas faite pour être entendue et comprise, mais être à l'écoute de vos maux intérieurs, pour pouvoir les mettre en mots comme exécutoire, plus que par nécessité d'y attendre une quelconque justice surtout humaine. L'écriture est l'expression de l'être, corps et âme, en vérité et réalité. Et pour celles et ceux qui écrivent, cette vérité et cette réalité ne peuvent être effectives que par cette envie incontrôlée d'écrire, à l'image de l'eau qui ne peut s'empêcher de s'écouler depuis sa source si rien ne l'arrête. Car pour qu'il y est écriture, il faut une source de laquelle va jaillir ce flot des pensées par lesquelles l'écriture va permettre de formuler en mots les choses, les maux !
Aussi, l'écriture comme exécutoire est un bon moyen, même s'il ne résoudra pas le problème de fond. Mais une chose est sûre, l'expérience propre et personnelle m'a démontré que l'écriture vraie et réelle est instinctive, intuitive, naturelle, spontanée, dynamique et souvent objective, car le cerveau capte et restructure l'information brute perçue consciemment ou inconsciemment, en une information élaborée qui permettra, à qui en a la capacité et la possibilité, de la formuler verbalement et scripturalement. L'Homme a une capacité imaginative et créative à inventer, toutefois ma propre expérience m'a démontré que, sans cela, l'écriture, comme toute forme d'expression, s'énonce naturellement si elle a une réalité et est une vérité, avec en plus une capacité de synthèse extraordinaire par la réalité des flots d'informations perçues et des choses vécues. Le cerveau capte tout et retraite tout, que cela soit décidé consciemment ou fait à l'insu de l'être.
Maintenant, en pratique il faut définir qu'elles sont les raisons qui m'ont valu (mon entourage compris) de ne pas pouvoir vivre tranquillement et d'avoir connu ce suivi, dont j'ai passé une grande partie de mon temps à en comprendre et en connaître les tenants et les aboutissants. Tout a commencé il y a plus de 20 ans, où sur le temps j'ai découvert que des personnes m'avaient inscrites dans une dynamique sexuelle déviante et plus exactement pédophile. Cela m'a valu durant des années des injonctions, des comportements agressifs, vindicatifs, suspicieux et des mises en scènes pour le démontrer humainement et techniquement (via internet). Bref, cela a été la première rumeur et les premiers ragots de mise à mal d'une réputation. Cela a commencé dans ma prime jeunesse et m'a suivi jusqu'à aujourd'hui (professionnellement et socialement). Récemment j'ai même entrepris de voir des spécialistes pour faire un point sur une sexualité qui a toujours été vide et un désert, mais surtout déficiente, à quelques exceptions près (mais là encore, en dépit d'avoir su surmonter sa déficience, ça n'a pas été le top pour moi-même, heureusement d'ailleurs qu'il existe la part affective et sensuelle qui permet de compenser), et pour cause à la vue de cet élément auquel d'autres viendront se greffer, sans oublier ce que des personnes ont négligé par ignorance, préjugés et aprioris, en dépit d'avoir agi et réagi en pensées, en paroles et en actes et pour lesquelles je suis en droit de me poser des questions sur les raisons véritables de tout ceci.
Il ne faut pas oublier que je me suis fait tout seul par l'unique capacité essentielle et intelligente : se connaître et de là se construire. Cette conviction forte concernant cette appétence sexuelle déviante m'a valu des années de harcèlement et d'acharnement, cependant ce n'est pas la seule chose qu'on m'a reproché et qui m'a empêché de vivre sereinement et librement comme tout à chacune et chacun. On s'est également appuyé sur un comportement psychologique déséquilibré, à la limite psychopathologique jusqu'à un rapport à autrui anormal en général ! Alors, je dois le reconnaître, j'ai eu des problèmes qui se sont inscrits dans le et sur le temps, seulement ce n'était pas à cause de ces comportements, mais parce que j'avais découvert tout ceci et que cette vie avait été loin d'être libre et que depuis bien longtemps il y avait toutes ces suspicions comportementales sexuellement et psychologiquement (sans négliger les faits et gestes prémédités en situation et condition par la nécessité de démontrer, prouver, piéger ou tout simplement surveiller dont je n'ai été dupe que jusqu'au jour où je me suis rendu compte que rien ne fonctionnait normalement, même en donnant le meilleur de soi et en y incluant les comportements peu honnêtes de certaines personnes qui se sont réappropriées ces choses négatives, et qui là aussi, m'ont fait prendre conscience du niveau et de la force de connaissance de ma propre personne (entourage compris) par d'autres, dont il est impossible en condition et situation que cela soit, dans un contexte donné réellement et adapté à la réalité des facultés de perception et de réflexion ! ) , qui ont généré tensions et conflits, aujourd'hui encore, car cela m'a empêché de mener ma vie (mon entourage y compris) humainement et essentiellement. Pour le côté psychologique, j'ai également décidé de voir des spécialistes, afin de passer des tests de personnalité. Toutefois, pratiquement c'est difficile et, tout comme la sexologie, c'est inaccessible financièrement quand on a peu de moyen et que cela n'est pas remboursé sur le plan santé. Bien sûr ces problématiques ne s'inscrivent pas uniquement sur le temps actuel, elles se rattachent également à des faits passés reposant toujours sur une mauvaise réputation contre laquelle j'ai du me battre pendant des années et jusqu'à ce jour dans tous les domaines de vie.
Que des personnes portent un jugement sur autrui, c'est humain ! Mais ce qui ne l'est pas, c'est lorsque ces jugements vous ont valu suivi, enquête, surveillance d'autorité ou par de simples personnes dans votre environnement de vie sociale et professionnelle. Aussi, si jusqu'à ce jour certaines personnes se sont permises d'agir ainsi en vous faisant passer pour tout et n'importe quoi, au point de vous faire perdre votre temps et votre équilibre de vie, sans qu'elles soient remises en cause et contre lesquelles il sera difficile d'entreprendre une action en justice du fait de la complexité des faits et de leur durée, ainsi que de la complexité de cette nature humaine dont certaines personnes n'ont pas hésité à révéler et user du plus mauvais côté, même à plusieurs et techniquement pour rendre les choses plus crédibles et vraisemblables, alors je me permets d'écrire ceci sans peur ni reproche, car cela a été et est une réalité bien sordide !
Toute personne est libre en droit et devoir. Personne n'a à déroger à cette règle, surtout lorsqu'il s'agissait et s'agit de vivre humainement et essentiellement sa vie avec ce que l'on est, ce que l'on a, dans son entière personne et personnalité en y appliquant la discipline suffisante pour savoir vivre et bien vivre et que les difficultés rencontrées au cours de l'existence ont plus reposées sur la nécessité de se défendre et de se faire respecter quant à pouvoir vivre librement sa vie dans tous les domaines. Car il est anormale que des personnes se soient intéressées à votre vie privée, sociale, intime, professionnelle, etc., pour y mettre tous les aprioris, préjugés, doutes, suspicions, méfiance, etc., (en pensées, en paroles et en actes) décidant du bon vouloir et du bon devoir ou non des choses, là où il s'agissait d'une vie pleine et entière qui ne dépendait que de soi-même en toute liberté de droit. Dans ce qui s'est passé sur le temps, il ne suffit pas de regarder la situation avec prismes et ne retenir que ce qui arrange et préservera celles et ceux qui ont mal agi illégalement et éhontement, pensant agir dans leurs bons droits et vouloir résoudre un problème épineux, alors qu'ils/elles n'ont faits qu'entretenir la problématique en empêchant le déroulement de la vie simplement et essentiellement, n'hésitant pas à user de toutes les méthodes viles, basses, déshonorantes pour justifier et rendre crédibles leurs actions.
Il ne faut pas oublier que l'ignorance, les préjugés, les aprioris, les convictions bornées et stupides, mais surtout la prise de conscience de s'être trompé et d'avoir agi illégalement sont déterminants du mode de pensée et d'action dans tout ce qui s'est passé jusqu'à aujourd'hui en y mettant de la mauvaise conscience, de la négligence, mais également de la malveillance, bref tout ce qui définit la malhonnêteté qui est une des formes de la manipulation pour mieux se sortir d'une telle situation.
A la différences de ces personnes qui ont passées et passent leurs temps à oeuvrer et manoeuvrer, laissant inévitablement des traces qui finiront par ressortir un jour, et donneront crédit à ce qu' écrit jusqu'à maintenant, même si cela ne changera rien à cette dynamique de vie; pour ma part (entourage compris), je me suis efforcé de continuer à avancer malgré tout en me concentrant sur ces problématiques car je ne pouvais et ne peux pas les éviter, mais surtout sur la nécessité de pouvoir donner du sens par essence à cette vie, qui aurait pu être plus épanouissante et enrichissante et surtout constructive, comme cela est définit, sans être déterminé, en chacune et chacun de nous, s'il n'y avait pas eu et n' y avait pas cette privation d'action par ces comportements inacceptables et illégales.
J'avais tout pour réussir ! Certaines personnes ont remis en cause mon intégrité et mes compétences humainement, socialement et professionnellement. Tout ce que j'ai entrepris, je l'ai fait à la force de mes capacités et facultés propres et personnelles, mais également matérielles en dépit d'une situation et d'une condition difficiles matériellement.
Aussi la nécessité de démontrer ce qui a été décrit jusqu' maintenant, repose sur le fait qu'à chaque fois qu'il y avait prise de conscience d'une chose, je devais adapter et adopter un comportement pour éviter le pire, ce qui me faisait perdre du temps et de l'énergie, mais également j'étudiais la dynamique déstabilisante et diffamatoire pour en étudier l'essence même et en déceler la faille qui existe comme dans toute chose fausse et manipulée en dépit d'apparaître vrai et authentique, à l'instar d'une copie de maître (tableau, sculpture, etc.) que l'on ferait passer pour vrai et authentique tellement la ressemblance et trompeuse même pour les plus avertis. Car la manipulation, la déstabilisation, le mensonge ont une limite : ils reposent sur le faux en dépit d'apparaître vrai pour celles et ceux qui ne savent pas écouter, observer, analyser, réfléchir et penser par eux-même. Pour qu'une chose soit vraie, il faut qu'elle repose sur le déroulement naturelle et spontanée en y incluant des conditions générales et complexes issues des lois universelles que l'humain ne peut recréer en réalité et vérité car limité dans ses capacités et ses facultés. L'humain ne peut pas reproduire à l'identique quelque chose, car il y aura toujours un élément non maîtrisé, inconnu, ignoré par essence, par ignorance, par incapacité. Voilà en quoi la manipulation a ses limites, en dépit de réussir à faire paraître les choses comme vraies et voilà pourquoi et comment j'ai pu la déceler, en utilisant aussi un autre procédé des plus simples qui repose sur la discipline du savoir-vivre et savoir-faire : pourquoi les choses ne se passeraient-elles pas bien si vous mettez tout en oeuvre humainement et matériellement parlant. Certes, rien, ni personne n'est parfait(e), cependant quand on a une capacité autodisciplinée à vivre, à savoir vivre et à savoir faire, il est surprenant de se retrouver dans des situations et conditions particulièrement inappropriées en terme de retour ou autres. Il y a une inadéquation entre ce qu'il se fait et ce qu'il se passe, qui n'est pas systématiquement du fait de soi, puisque dépendant d'autrui et de cette proximité qui ne devrait pas avoir lieu dans les conditions d'une vie normale d'une personne. Car dans l'ensemble, j'ai toujours été surpris, sans négliger les problèmes inscrits sur et dans le temps, quant au pourquoi il n'a pas été possible de faire tranquillement ce que chacune et chacun font en toute liberté (gérer sa vie en générale en tout et pour tout, et sans l'intervention malveillante ou intrusive de certaines personnes). Comment peut-on donc ne pas imaginer que nombre d'actions ont été entravées à cause de cela, avec parfois voire même souvent la réappropriation des faits pour les utiliser à des fins déstabilisantes. Aujourd'hui, je m'interroge sur les raisons qui ont été à l'origine de cela, même si je commence à en cerner un aperçu, et sur le pourquoi certaines personnes peuvent vivre leur vie sans être ennuyées, en dépit de rencontrer des problèmes comme toute à chacune et tout à chacun. Mais également sur le pourquoi d'une remise en cause permanente en tant que personne, avant même d'avoir entrepris quoique cela soit et ne permettant pas donc de pouvoir en émettre un jugement, avec cette connaissance de soi par autrui sur des choses qui relevaient et relèvent plus du personnel, du privé et de l'intrinsèque de soi. Il est tout de même anormal, qu'en étant le propre témoin et iniateur de sa vie, ce soit d'autres personnes qui aient pu déterminer avec vérité diffamante, ce qui est l'apanage de vie du toute à chacune et tout à chacun, ni plus, ni moins. Chose qui prouve le suivi particulier et singulier avec une réappropriation des faits en les réadaptant pour l'occasion, car connaissant toute la dynamique de la nature humaine, du fait de mon implication sociale, de mon expérience de vie et de ma curiosité intellectuelle, je suis surpris qu'on est pu créer un tel contexte déstabilisant, car dans ce cas il faudrait le faire pour tout le monde. Avoir été entravé par des personnes qui, elles, se sont permises de vivre, se le permettent et se le permettrons en ne le faisant pas de la manière la plus intelligente, pratique, pragmatique avec des soucis et des problèmes comme toute à chacune et tout à chacun, me laisse songeur sur l'honnêteté et l'impartialité dans ces problématiques. Car tout le monde a et pose des problèmes. Personne n'est parfaite ! C'est pourquoi, cela prouve également, sur le temps, cette complexité inappropriée en normalité de vie dans les faits et gestes, ainsi que le suivi et la surveillance qui ont toujours été de mise avec ces comportements très bien orchestrés, calculés, etc. Il y a bien eu et il y a bien une maîtrise de cette vie malgré soi ! Çà on ne réussira pas à me faire croire l'inverse après tout ce qui s'est passé et ce qu'on voulait entreprendre.
Une chose est sûre, de la nature humaine on n'en n'aura pas fait le tour, mais on n'en aura vu un aspect et pas le meilleur. De plus je suis surpris de constater que des personnes aient pu agir aussi discrètement à plusieurs en milieux ouverts, sans que personne ne se rende compte de rien, et qu'on est réussi à vous construire une réputation avec force et vérité, alors qu'il n'en était rien, même si je ne dois pas négliger les problèmes existants liés à ces problématiques. Donc des gens peuvent agir et interagir dans le temps et l'espace, personne ne se rend compte de rien, de plus ça n'a pas d'existence et de consistance (cela serait pure fantaisie), et vous, vous vous contentez de faire votre petit bonhomme de chemin, comme toute à chacune et tout à chacun, et on vous trouve toutes les misères du monde avec force et vérité. Il n'y a pas un paradoxe et des contradictions !
Aussi, je concluerai que personne n'est en droit d'agir ainsi, contre qui que cela soit (moi-même ou mon entourage), en sachant que tout ceci a juste empêcher que cette vie soit par essence en toute liberté, réalité et vérité en étant et pouvant être pleinement intégré dans son environnement et en adéquation avec autrui, quel que soit l'âge, la condition et la situation (sans négliger les contingences humaines et matérielles) : être en vie et pleinement vivant, construire et célébrer la vie en,dans et pour tout, mais également avec tout à chacune et chacun respectueusement et librement !


Voici maintenant quelques faits que je désire inscrire pour marquer et justifier ce que décrit ci-dessus en commençant par ordre décroissant. Dans la globalité les faits s'incrivent toujours dans un rapport de force,de stress, de diffamation, d'atteinte à l'intégrité et la vie privée de la personne.


Pour commencer, il y a toutes ces années passées avec mon frère où il y a eu beaucoup de difficultés rencontrées à cause de faits et gestes occasionnés par les suspicions de comportements à notre égards (sexuellement, psychologiquement, et dans notre rapport en général avec les personnes (enfants et personnes féminines entre autres). Conscient et observateur, j'ai pu anticiper et éviter certaines choses, toutefois mon frère, de part son handicap, ne faisait attention à rien de tout ceci, se contentant d'évoluer le plus naturellement dans son environnement. sans prendre conscience de certaines attitudes inappropriées et calculées, m'obligeant à être vigilant pour deux ! Ceci nous a donc valu des agressions, des comportements de dénigrement et harcèlement, jusqu'à des attitudes adaptées et adoptées pour l'occasion et parfois en relation avec l'autorité dans certaines activités. J'ai remarqué durant celles-ci des comportements tendancieux, suspicieux voire volontairement actifs pour nous inclure dans une dynamique en adéquation avec ces suspicions et ces accusations, mais également avec la volonté de démontrer des choses factuellement et d'obtenir un comportement désiré en adéquation avec tout cela. A cause de ceci, on a connu des agressions verbales et gestuelles, pour lesquelles j'ai déposé des mains courantes, mais dont je suis conscient aujourd'hui que cela ne servait à rien. C'est pourquoi plus tard, j'ai porté plainte contre "X" auprès du procureur de la république par deux fois, afin d'initier une procédure, mais en vain là aussi. Procédure dont je désirais qu'elle traite les affaires actuelles, mais également passées, car même s'il n'y a pas de lien, cela revient toujours aux mêmes problèmes dont il est normal de comprendre le pourquoi du comment de tout cela. D'ailleurs, il y a une chose qui m'a étonné dans le déroulement des faits, en plus de ce que décrit ci-dessus, ils ont eu lieu localement et au delà, et il y a la ressemblance récurrente de certaines personnes avec celles connues et côtoyées ici et là sur les années dans le contexte et l'environnement, même actuellement ! D'autant qu'aujourd'hui, dans l'espace restreint de vie, cela ne peut être du hasard, si on applique les règles générales mathématiques en rapport avec les notions de probabilité. Règles mathématiques qui peuvent être appliquées également pour tout et en tout !
Dans les faits, la notion de hasard est douteuse pour tout et en tout, ce que determine mon observation propre dans un contexte donné en y appliquant les règles universelles de vie en condition et situation et en corrélation avec les notions mathématiques et autres comme la physique, la chimie etc., et ce depuis des années et jusqu'à aujourd'hui.
Ensuite, les autres faits ont eu lieu pour ma part dans le milieu professionnel dont j'ai commencé à avoir des problèmes en 1999/2000 et qui ont été de véritables moments difficiles à passer à cause des comportements de personnes, d'un certains dénigrement et mise en cause de mon intégrité en tant que personne et dans mon rapport aux autres. Situation qui me rappelle trop celle vécue actuellement. D'ailleurs, la ressemblance des personnes sur le temps et à l'identique de celles des événements. Ce qui là aussi me laisse perplexe et interrogateur. Donc, professionnellement, j'ai connu des problèmes face auxquels j'ai dû me débattre seul, même si je sais aujourd'hui que des personnes étaient conscientes de la situation et m'ont soutenu sans que je m'en rende compte. D'autant, que sur le temps, j'ai dû faire face également à la situation de ma propre famille qui n'était pas simple humainement et matériellement, comme aujourd'hui d'ailleurs. Les problèmes professionnels m'ont valu un conflit permanent, allant jusqu'à la remise en cause de mes capacités, de mes compétences, de mon intégrité et surtout de mon rapport aux autres. Ce qui sur le temps m'a empêché de travailler sereinement et d'acquérir le professionnalisme nécessaire dont je connaissais intrinsèquement mes capacités en la matière. Cela m'a valu un véritable harcèlement discret mais efficace, dont il en est ressorti que j'étais la problématique. C'est pourquoi j'ai quitté l'armée en 2007, en pensant que je pourrais entreprendre seul pour mettre en valeur mon potentiel dans un domaine de travail qui me correspondrait ! Mais là encore, j'avais négligé les problématiques (pour lesquelles je n'en ai pas encore la totalité des tenants et aboutissants), et que ma réputation m'avait précédé (étonnant d'ailleurs); j'ai donc rencontré les mêmes problèmes de comportements de personnes qui ont commencé à me faire réfléchir sur les raisons de tout ceci, même si j'avais déjà fait ce travail depuis des années, et qui me faisait prendre conscience que les événements vécus n'émanaient pas du pur hasard. C'est totalement incompatible avec la réalité des choses en condition et situation, surtout lorsque l'on a une discipline de vie en adéquation avec l'environnement, les personnes, la réalité de vie en condition et situation, mais surtout les capacités et les compétences pour pouvoir entreprendre sa vie dans tous les domaines, même s'il a fallu acquérir de l'expérience et de la maturité pour certaines choses sur le temps ! Ceci n'est qu'un aperçu synthétique des problèmes rencontrés sur le temps (et je n'ai pas parlé des relations intimes, sociales et des faits anciens et antérieurs, qui, là aussi, ont été mis à mal sans foi ni loi !), mais aujourd'hui il faut prendre conscience d'une réalité de vie particulière et singulière bien sordide et destructurante, dont le déroulement des événements, me faire dire, qu'il ne fait pas partie du hasard uniquement, car cela ne correspond pas à la réalité des choses en condition, situation et en adéquation avec les lois universelles de vie, tout en donnant l'impression d'un cheminement de vie écrit à votre insu en se servant de votre environnement, de votre condition, de votre situation pour aboutir à un objectif différent de votre nécessité de vivre simplement et essentiellement : nuire et discréditer. Le tout est de comprendre pourquoi aujourd'hui, même si j'ai une partie de réponse depuis le temps que j'ai pris conscience de tout ceci grâce à mes capacités et facultés qui ont souvent été remises en cause et à tort souvent ! (Pourquoi des personnes ont pu mettre à mal une existence ? Pourquoi des personnes ont pu disséquer votre vie comme un rat de laboratoire ? Pourquoi des personnes ont joué un rôle en vue d'une réaction comportementale ? Pourquoi des personnes ont pensé à mal votre intégrité propre et personnelle (même si l'être ne peut être parfait) ? Pourquoi des personnes vous ont discrédité, diffamé, harcelé, agressé ? Pourquoi des personnes ont réussi à convaincre d'autres à agir à votre encontre sans réfléchir et vérifier ? Pourquoi certaines personnes ont donné du crédit à des propos émanant de personnes ayant volontairement amplifié et déformé leurs dires donc menti ? Pourquoi des personnes peuvent avoir la possibilité d'agir en faits et gestes illégalement et naturellement sans que l'on puisse et doive agir ou réagir au risque d'être sanctionné ? Pourquoi des personnes peuvent mettre à mal une existence en se servant de l'environnement, de la condition et de la situation sans que l'on puisse rien faire et que personne ne se soit rendu compte de rien ? Pourquoi des personnes peuvent déstabiliser, nuire, etc. en se cachant derrière la loi ou l'autorité pour mieux agir et se prémunir ? Pourquoi des personnes peuvent travestir la vérité des faits en vous poussant et menant dans les chemins sinueux du discrédit, de la discorde, du sanctionnable par la mise en place de choses en faits et gestes ? Pourquoi des personnes sont elles si obtues et bornées à continuer dans ce sens - qu'est-ce qui les motivent ?). Et la liste des pourquoi n'est pas exhaustive ! Quant aux termes de personnes cela s'exprime tant individuellement et collectivement toute condition et toute situation confondues.

jeudi 23 juillet 2015

De l'intelligence


Alors que je lisais un article sur des animaux en voie de disparition à cause des comportements humains, plus que naturellement, l'article faisait référence à l'intelligence animale. Ceci m'a donc amené à écrire sur le sujet.

L'intelligence, qu'est-ce que cela ? Selon le dictionnaire, elle est la faculté de connaître et de comprendre. Elle représente les fonctions mentales ayant pour objet la connaissance rationnelle, en l'opposant à sensation et à intuition.
Cette définition est toute relative, car l'intelligence intègre, à mon humble avis, bien plus que cela et même la sensation et l'intuition. L'intelligence est  la forme par essence de tout ce qui est dans l'infiniment petit et grand. Elle peut être difficilement définissable, puisqu'elle nous définit en parti en tant qu'élément d'un ensemble dont elle est l'origine essentiellement. Elle est en tout et en chaque chose, même chez les animaux. L'homme a trop tôt de penser que l'intelligence est en fonction de nos définitions, de certaines conditions et espèces, etc., alors qu'il n'en est rien. L'homme se méprend en pensant que l'intelligence n'est que du ressort de celui-ci, alors qu'il est lui-même issu d'une intelligence vaste, infinie et à l'origine de tout ce qui est dans l'infiniment petit et grand, n'étant qu'un des éléments de celle-ci, dont il en détient une partie pour sa propre survie, vie et évolution. Il ne faut d'ailleurs pas confondre intelligence et instruction dont la première est par essence et fait partie de toutes choses au sein desquelles elle ne demande qu'à être mise en oeuvre; et la seconde est par apprentissage, expérience et pratique.

L'intelligence est la faculté à connaître et comprendre. Chose que les animaux sont capables de faire. Il ne faut pas négliger que la vie existait bien avant que l'Homme soit. De plus, les éléments qui constituent et composent notre environnement dans l'infiniment petit et grand sont structurés et agencés selon des principes universelles très élaborés, permettant la coexistence des uns et des autres et leur pérennité, alors qu'il ne sont dotés d'aucune conscience comme l'est le vivant !

Chaque matière et chaque vivant contient cette intelligence qui s'exprime et se développe différemment en fonction des conditions, des situations, des évolutions, mais aussi de la prise de conscience (donc de la capacité de connaître et de se reconnaître), surtout pour le vivant, même si pour la matière, à la vue des choses découvertes, connues et apprises, il est intelligent et intéressant de penser le contraire.
Aussi, l'animal n'échappe pas à cette règle, quand bien même il n'arrive à pas notre niveau de développement et d'évolution de soi et de l'espèce. Toutefois, il est doté d'un cerveau, centre principal et moteur de son être, qui a des facultés similaires à l'Homme, surtout en terme de conscience, de sensation, d'intuition, d'instruction, bref des facultés intellectuelles qui conditionnent ce qu'il est et ce qu'il fait, en surprenant celui qui le domine par dessus tout : l'Homme.
L'Homme qui, comme a son habitude pour tout et en tout (individuellement, collectivement, à petite ou grande échelle), a cette propension à se croire au-delà de tout et supérieur à tout, au point de décider de et définir ce qui est ou n'est pas au travers de son prisme d'intelligence limitée et conditionnée par tout ce qui l'a façonné, le façonne et le façonnera, oubliant de se détacher, de prendre du recul et de la hauteur pour connaître et comprendre chaque être, chaque chose qui compose son environnement dans l'infiniment petit et grand : principe premier de l'intelligence et de toute intelligence qui doit être marquée de la clairvoyance, du bon sens et surtout de la bienveillance ! D'ailleurs, qu'il se questionne sur ce qui se passe dans son environnement et se demande le pourquoi des atermoiements de sa condition, de celle d'autrui, des choses qui l'environnent, et pour lesquels il a une grande part de responsabilité à cause de ce manque d'intelligence essentielle qu'il a remplacée par sa vaniteuse condescendance de domination, d'ambition, d'enrichissement, de cupidité, de manoeuvres, manipulations, etc., qui, pour le coup, le rapproche étrangement de l'animal et de l'animalité voire de la bestialité, plus que de l'humain et de l'humanité.

Alors, quid de l'intelligence, l'Homme est-il réellement intelligent et plus que l'animal ? Aux vues de ses actions, il est difficile de l'imaginer, surtout qu'il reste toujours conditionné par tout ce qui le façonne et détermine sa structuration mentale (sa pensée) et par voie de conséquence son mode d'action !

L'intelligence est un don de la vie pour que celles et ceux qui en disposent puissent la mettre en oeuvre pour leur propre survie, vie et évolution en condition et situation. Elle n'est nullement l'apanage d'une catégorie, car c'est elle qui nous définit et qui est intégrée en chacune et chacun de nous, mais en chaque chose également. En tant qu'Homme, Il suffit simplement d'en prendre conscience pour la connaître et la comprendre, et ainsi être et devenir intelligence pour agir intelligemment (condition nécessaire à la survie, la vie et l'évolution de l'Homme, individuellement et/ou collectivement, en condition et situation, dans et sur le temps).


Écrit et Posté le 23 juillet 2015 de 17h45 à 19h10.


Mr Franck Delaby



Mes Chats

 

samedi 11 juillet 2015

Des conflits ou du conflictuel


Suite à un article sur les persécutions et les conflits en général, individuels ou collectifs, voici ma petite pensée du jour :

Quelle misère  ! L'Homme passe son temps à nuire. Et Nous passons notre temps à fuir. Fuir la vie essentielle et existentielle, car Nous sommes tiraillés entre toutes ces choses qui divisent au lieu d'unir. Que cela soit à petit niveau où à haut niveau, Nous sommes confrontés à la dure réalité conflictuelle de nos contingences humaines et matérielles. Marque essentielle et récurrente de son histoire, l'Homme passe son temps à se battre ou se débattre contre le conflictuel, en fonction de sa situation ou condition, contre des choses qui le dépassent, mais à cause desquelles ils s'enlisent, trébuchent, ou trépassent.
Pourquoi l'Homme passe t'il son temps à nuire et à se nuire pour des raisons/causes diverses et variées (politique, économique, cultuelle, culturelle, sociale, etc.), et dont parfois les causes visibles ne sont que l'arbre qui cache la forêt, au lieu de s'unir dans la diversité pour mieux vivre et surtout profiter de la vie qui est bien courte ici-bas et dont les contingences humaines et matérielles se suffisent à elles-mêmes en guise de combat du quotidien ? Où que Nous soyons, quoi que Nous pensions, quoi que Nous fassions, qui que Nous soyons, du plus bas au plus haut niveau, Nous n'échappons pas au conflictuel pour et en tout que cela soit volontaire ou non, conscient ou inconscient, par  ambition, par conviction, par convention, par cupidité, par avidité, par jalousie, par apriori, par préjugé, etc. (et la liste n'est pas exhaustive), bref par conflits d'intérêts, dont tout cela empêche une véritable dynamique de vie humaine essentielle, existentielle et épanouissante, car personne n'échappe à cela quelle que soit sa condition et situation individuelle ou collective. Aujourd'hui, Nous parlons beaucoup du dérèglement climatique qui a un impact sur notre Terre et Nous-mêmes, mais Nous ne parlons que très peu du dérèglement éclectique humain, qui par le nombre et la diversité antonymique, génère tout ceci par incapacité à savoir dépasser ce qu'il représente, sans le nier et le renier, pour devenir ce qu'il est en parfaite adéquation avec l'autre et son environnement, en dépit de ses différences.
Quand est-ce que l'Homme, à tous les niveaux individuel et/ou collectif, sortira de ces comportements animaliers, archaïques et intéressés, pour simplement vivre et profiter de chaque instant comme une bénédiction et célébration de la vie avec envie, passion, émotion et surtout compassion en dépit des oppositions et contradictions; condition nécessaire de sa pérennité, de sa vitalité, de sa créativité,etc., donc de son humanité pleine et entière ? Et comment font celles et ceux qui vivent à cet instant pour trouver un équilibre dans ce marasme ambiant et diffus , où il est difficile de s'y retrouver, tant la confusion et les dissensions sont de mise ?
L'Homme est un animal pensant, dont, à ce jour et depuis toujours, son animalité prime sur sa pensée, au point de l'enfermer dans ce cercle vicieux du conflictuel, tout aussi diffus et flou quant aux raisons profondes, mais entraînant dans son sillage celles et ceux qui n'aspirent qu'à vivre et profiter de la vie avec ce qu'ils sont, ce qu'ils ont, ce qu'ils pensent, etc., simplement, mais humainement.


Écrit et posté le 11 juillet 2015 à 10h50.


Mr Franck Delaby




Mr Franck Delaby

mercredi 8 juillet 2015

De l'espoir et de l'espérance



L'espoir est le fait d'espérer, d'attendre quelque chose avec confiance.

L'espérance est le sentiment qui fait entrevoir comme probable la réalisation de ce que l'on désire.


Tout commence par une conversation lors d'une collation de départ d'une personne en fin de journée sous un soleil éclatant et un ciel radieux. Comme à mon habitude, je scrute l'environnement et les personnes qui le composent, à la recherche de visages connus pour entamer une conversation; lorsque soudain une personne (qui est un homme) s'approche de moi, me salue et m'interpelle suite à mon intervention lors d'une réunion-débat sur le dérèglement climatique (voir mon article sur le sujet). Au cours de celle-ci, j'ai donné mon avis d'une manière réfléchie et pragmatique avec une pointe de réalité sceptique quant à la résorption d'un tel phénomène dans les conditions actuelles, à la vue de la complexité du problème, qui dure depuis plus de 265 ans (début de la révolution industrielle), et devra impliquer un changement radical des modes de production, de consommation et de vie en général, sans oublier une connaissance et un savoir parfait de ce phénomène dans sa diverse complexité, en ne négligeant pas ce que nous ignorons et ne maitrisons pas encore. Ce qui ne veut pas dire pour autant de ne pas entreprendre quelque chose, car cela serait pire que de ne rien faire. Mon intervention a suscité des réactions d'étonnement et de surprise, car trop pessimiste et n'incluant pas la notion d'espoir et d'espérance.

Cette personne me rappelle donc cette intervention en soulignant mon côté exalté et d'envolée lyrique au point d'en être arrivé à 25000 pieds ; me demandant de redescendre sur terre avec pour nécessité de s'engager comme gage d'un geste plus juste et réaliste, tout en ne manquant pas de me rappeler la notion et l'esprit d'espoir et surtout d'espérance en dépit de l'ampleur du phénomène ! Puis, elle m'a quitté en levant son verre de champagne tout en disant : « Santé », sur un ton joyeux, à la limite ironique. Tournant le dos donc, elle s'en alla rejoindre d'autres personnes, heureuse comme un pape, ne me laissant même pas le temps de lui répondre et dont voici en substance ce que je m'apprêtais à lui dire : « Que buvez-vous en ce moment et dans quoi ? » elle m'aurait alors certainement répondu : « du Champagne dans un verre ! » J'aurais ajouté « Imaginez maintenant la chaîne de production du champagne et du verre à grande échelle jusqu'à sa consommation, en passant par la commercialisation et dites vous que ce long processus à ce stade génère de la pollution, des gaz à effet de serre et est donc responsable du dérèglement climatique. » Alors, j'aurais continué en disant : « Seriez vous prêt, à votre petit niveau, à abandonnez vos habitudes et satisfactions de consommation, et pensez-vous qu'à un plus grand niveau d'individus, cela se ferait ? » La réponse, que je n'ai pas de cette personne, à mon avis serait « non » en grande partie, car peu de personnes souhaiteraient le faire et l'envisager en se privant d'un mode de vie essentiellement basé sur le plaisir et la satisfaction, d'autant que de nos jours, les temps sont difficiles et la moindre occasion est bonne pour sortir de cette ordinaire alimentaire et de crise.

Depuis la nuit des temps, l'homme s'inscrit dans le plaisir et la satisfaction dès que l'occasion se présente, surtout depuis qu'il a su maîtriser son environnement et améliorer ses conditions de vie pour sortir de sa condition animale, instinctive et de survie. Il a su organiser sa situation en la partageant entre la famille, le travail et les loisirs. L'Homme est un hédoniste, et lorsque sa condition le permet, il ne s'en prive pas (même sans une bonne situation), en vivant des plaisirs jusqu'à l'addiction. Que ce phénomène soit individuel ou collectif.
Rare sont les personnes qui réussissent à vivre de l'essentiel sans se laisser absorber par le superficiel, l'inutile, le consommable plaisant et agréable sans véritable but, ni objectif, si ce n'est que de remplir du vide par le vide, sans trop bien comprendre les raisons de ces actes répétitifs et mécaniques. N'oublions pas que la nature a horreur du vide. L’espace, l'univers, par exemple, sont pleins en dépit des apparences et de cette illusion de vide. Aussi, l'Homme, élément de cet ensemble, n’échappe pas à sa condition d'être qui a horreur du vide, au point de toujours remplir son temps à faire quelque chose, même les plus inutiles et peu constructives.
Nous sommes vivant, en devenir et en mouvement permanent, comme chaque chose dans l'infiniment petit et l'infiniment grand.Seulement, L'Homme a le libre arbitre et le choix en matière et manière de combler le vide et remplir son temps, même dans l'inaction. Et pour cela, il s'est créé une multitude de choses assez récurrentes et qui tournent essentiellement autour de la consommation pour sa satisfaction, et son plaisir. Alors, certes il faut bien consommer pour subvenir à ses besoins du quotidien pour sa propre survie et donc sa vie ; de plus se faire plaisir est un bien nécessaire autant pour sa survie que sa vie. Toutefois, l'Homme tombe toujours dans l'excès consciemment ou inconsciemment, seul ou à plusieurs, poussé par autrui ou lui-même, etc.
Sa nécessité de consommation et de satisfaction est plus forte que tout par principe de plaisir et d'action de combler un vide, d'autant que certaines choses consommées développent des habitudes à la limite de l'addiction légère ou forte, rendant la récurrence de la consommation aisée et facile. Sans compter que la société est construite sur cette dynamique de dépendance pour augmenter la consommation et donc les gains substantiels qui deviennent exponentiels en fonction du nombre d'individus.

Aussi, à la vue de cette brève explication non exhaustive, j'ai du mal à entrevoir la résorption du phénomène de dérèglement climatique avec espoir et espérance, lorsqu'il faut prendre en compte le mode de pensée, d'action et donc de vie de l'Homme en tant qu'individu ou groupe sur le temps et dans l'espace et qu'il faudrait un changement radical de ce mode de vie qui ne fonctionne qu'au travers de la consommation utile, mais aussi futile, source d'économie, de production en conséquence et donc de travail en finalité. Tout est imbriqué comme les rouages mécaniques d'une machine, dont on sait pertinemment qu'une seule pièce défaillante ou extraite peut enrayer le bon fonctionnement voire l'arrêt de celle-ci. Il faut donc rester réaliste face à une dynamique de vie humaine qui ne peut pas reposer uniquement sur la notion d'espoir et d'espérance, en se concentrant sur le problème de fond qui nécessitera du temps, des moyens et de l'humain pour que cela change, donc de l'action concrète et pragmatique.

Le mode de vie pourrait être défini de manière simple, pour ne pas dire simpliste comme suit : il y a les moyens et les finalités. Seulement, actuellement, tout est un peu chamboulé, voire renversé au nom du principe fiduciaire, monétaire, de l'argent essentiellement et de bien d'autres choses comme le pouvoir pour tout et en tout. Au point que l'individu n'est plus qu'un simple consommateur tout juste bon à générer de l'économie par ses besoins de consommations et de satisfactions qui priment plus que la nécessité de sa construction en condition et progression individuelle et/ou collective. La dynamique n'est pas de faire de l'Homme un être libre et en devenir, mais à devenir un être dépendant et soumis à ce système subtil de la consommation par nécessité d'économie et de rentabilité, dont il n'en tirera aucun profit généralement. Le rendant esclave d'une situation dont il aura l'illusion d'être le décideur de son existence et de sa consistance de vie, qui généralement ne sera qu’une ombre ou un apparat de vie.

Alors, espérer et être marqué de l'espérance me laisse songeur et perplexe. Essayons de faire le point de notre histoire humaine et de voir avec réalisme et objectivité la résultante des actions individuelles et surtout collectives sur le temps et dans l'espace. L'Homme a-t-il toujours œuvrer pour l'intérêt individuel en construction et progression dans une dynamique collective en adéquation avec son environnement, ou n'a-t-il pas plutôt essayé d’œuvrer pour l’intérêt d'un collectif au détriment de l'individu en s'en servant et en l'avilissant plus qu'en le grandissant ?
Mais au delà de l'être, n'a-t-il pas également mis à mal son environnement par nécessité de vénalité et de cupidité, sans oublier l'avidité et le pouvoir sur les choses et les êtres, le tout drapé de sa vaniteuse condition de maîtrise par ignorance et aveuglement très souvent. En soulignant, que tout ceci à mener, non seulement à la dégradation de son écosystème, du climat, mais surtout à mis à mal des milliers voire des millions de vie sur le temps et dans l'espace. Alors, allons parler d'espoir et d'espérance à toutes ces personnes qui ont vu, voient ou verront leur vie chamboulée, sacrifiée, marginalisée, voire détruite au nom de tout ceci; là, où peut-être voire certainement, elles désiraient, désirent, désireront s'inscrire dans un projet de vie tout simplement, en l'espérant et l'attendant avec confiance comme probable réalisation de leurs profonds désirs (telles sont les définitions du mot espoir et espérance).

La seule chose à envisager est donc un changement radical des esprits, des modes de vie et surtout de production/consommation individuellement et collectivement, sans pour autant se priver de vivre pleinement et agréablement la vie, mais humainement avec l'autre dans sa dynamique constructive et progressive de vie pleine et entière à son avantage et non à son détriment, en adéquation avec l'environnement. Car une vie de personne s'inscrit dans un projet de vie humanisante, grandissante, et non dans un projet de vie mortifère, objetisante, avilissante et marginalisante. Quant à celles et ceux qui prônent l'espoir et l'espérance face à cette problématique, j'ose entrevoir l'espoir et l'espérance d'un profond changement de leur part dans leur mode de vie en général, en changeant et en abandonnant tout ce sur quoi repose leur confort de vie humaine et matérielle, générateur de pollution, de dégradation de l'écosystème et de dérèglement du climat. Ce que je doute fort !


PS : Cette approche brièvement développée, ne mettant pas en lumière tous les aspects pour en saisir la forme et le fond dans sa globalité et complexité, peut être mise en parallèle avec d'autres domaines où le comportement et les attitudes irresponsables de personnes de l'individuel au collectif, sur le temps et dans l'espace, sont sources et causes des désagréments d'espoir et d'espérance inscrits au plus profond de chacune et chacun comme dynamique essentielle de vie.


Écrit les 5 et 7 juillet 2015 et publié le 8 juillet 2015 à 00h10.


Mr Franck Delaby


La Passiflore Bleue